La décision du Conseil Régional de se porter acquéreur du site de New Fabris, à Châtellerault, suscite un débat. Faut-il reconstruire là ou ailleurs ? Rénover l'existant coûte parfois plus cher que de faire du neuf, mais il ne faut pas oublier la charge symbolique des friches industrielles ni les problèmes que pose l'étalement infini des zones d'activités.
Jean-Louis Frot, premier vice président du conseil général de Charente-Maritime, l'a lui même souligné le 5 février : pour la ville de Rochefort, la reconquête du site abandonné par Zodiac a été une priorité commune à toutes les collectivités, toutes tendances confondues. La renaissance d'une activité sur un site délaissé est à la fois un réconfort pour les salariés victimes des plans sociaux, un espoir pour tous les travailleurs du bassin, et aussi un geste fort pour l'image industrielle de la ville-port multiséculaire.
Laisser à l'abandon 7 hectares au coeur de la zone Nord de Châtellerault serait un signe de déclin et de découragement. Le Conseil Régional promeut une mutation industrielle, une conversion des entreprises vers des productions propres de produits écologiques. De nouveaux marchés s'ouvrent. Des innovateurs viennent s'installer en Poitou-Charentes. Il faut qu'ils trouvent chez nous des lieux porteurs d'image. La transformation du site Fabris en Nouvelle Fabrique Ecologique est un signal extraordinaire.
C'est pourquoi Solaire Direct s'intéresse au site et envisage d'y installer une centrale de production d'électricité photovoltaïque, ainsi qu'un centre de formation pour les nouveaux métiers du solaire.
Le site Fabris est pollué. Et alors ? C'est l'honneur de notre génération que de ne pas laisser aux suivants la charge de la dépollution. Et peut-on continuer à étaler à l'infini les zones d'activités au détriment des terres naturelles et agricoles ?
Ce n'est pas une première en Poitou-Charentes : la ville de Thouars, par exemple, a bâti un projet très ambitieux autour de la reconquête d'un ancien établissement de matériel militaire. La dépollution n'est pas simple, et l'Etat s'est fait un peu tirer l'oreille pour prendre ses responsabilités à cet égard, mais au bout du compte, la ville de Thouars espère à moyen terme devenir "autosuffisante" en énergie grâce à une centrale photovoltaïque, des éoliennes et aussi une usine de méthanisation des déchets organiques agricoles et industriels.
Jean-Louis Frot, premier vice président du conseil général de Charente-Maritime, l'a lui même souligné le 5 février : pour la ville de Rochefort, la reconquête du site abandonné par Zodiac a été une priorité commune à toutes les collectivités, toutes tendances confondues. La renaissance d'une activité sur un site délaissé est à la fois un réconfort pour les salariés victimes des plans sociaux, un espoir pour tous les travailleurs du bassin, et aussi un geste fort pour l'image industrielle de la ville-port multiséculaire.
Laisser à l'abandon 7 hectares au coeur de la zone Nord de Châtellerault serait un signe de déclin et de découragement. Le Conseil Régional promeut une mutation industrielle, une conversion des entreprises vers des productions propres de produits écologiques. De nouveaux marchés s'ouvrent. Des innovateurs viennent s'installer en Poitou-Charentes. Il faut qu'ils trouvent chez nous des lieux porteurs d'image. La transformation du site Fabris en Nouvelle Fabrique Ecologique est un signal extraordinaire.
C'est pourquoi Solaire Direct s'intéresse au site et envisage d'y installer une centrale de production d'électricité photovoltaïque, ainsi qu'un centre de formation pour les nouveaux métiers du solaire.
Le site Fabris est pollué. Et alors ? C'est l'honneur de notre génération que de ne pas laisser aux suivants la charge de la dépollution. Et peut-on continuer à étaler à l'infini les zones d'activités au détriment des terres naturelles et agricoles ?
Ce n'est pas une première en Poitou-Charentes : la ville de Thouars, par exemple, a bâti un projet très ambitieux autour de la reconquête d'un ancien établissement de matériel militaire. La dépollution n'est pas simple, et l'Etat s'est fait un peu tirer l'oreille pour prendre ses responsabilités à cet égard, mais au bout du compte, la ville de Thouars espère à moyen terme devenir "autosuffisante" en énergie grâce à une centrale photovoltaïque, des éoliennes et aussi une usine de méthanisation des déchets organiques agricoles et industriels.
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